On voit ce tout petit chien dans les magazines people, nichés au creux des bras de Britney Spears ou de Paris Hilton. Les studios Disney l’ont élevé au rang de star de cinéma dans «Le chihuahua de Beverly Hills», film qui s’était installé en tête du box-office américain dès sa sortie, en septembre dernier 2008.
Porté par cette notoriété cinématographique, l’offre semble déjà ne pas être en mesure de répondre aux demandes.
A l’heure actuelle, en Suisse comme ailleurs, on pourrait déjà vendre un chihuahua tous les jours, mais les éleveurs n’ont que quelques portées par année (en moyenne 2,4 chiots par portée), et gardent quelques petits pour assurer la descendance des géniteurs. De plus, chaque saillie est onéreuse, et nécessite parfois de se déplacer à l’autre bout de l’Europe. Les complications lors de la mise bas sont fréquentes et requièrent souvent l’intervention du vétérinaire.
Autant de paramètres qui justifient son prix, actuellement stable, qui se monte tout de même à quelque 4000 francs pour un chien de qualité, au pedigree reconnu par la Société cynologique suisse (SCS), donc par la Fédération cynologique internationale (FCI).
Paris Hilton avec un chihuahua.